mardi 20 mars 2012

Pas toujours facile de trouver une bonne mère à Marseille


La première chose que nous avons décidée de faire par nous même, c'est le vinaigre ! Aux toilettes la bouteille de production industrielle à l'effigie d'un célèbre super marché dont je tairai le nom, et où certains vont par erreur, à la recherche compulsive de machines à sous (ceci est un indice subtile). Tiens, ça a décapé le tartre de la cuvette, au moins on a pas tout perdu !

Etape 1 : trouver un vinaigrier. Nous enfourchâmes notre fidèle destrier (un seat ibiza qui semble avoir pris sur elle tout le sable de cette charmante île tant elle est sale) en direction de St-Maximin. En discutant avec nos amis Virginie et Cyril de notre intention hautement subversive de fabriquer in domo ce liquide rouge et acide qui se marie si bien à l'huile d'olive, ceux-ci nous ont fait part de leur souhait de se séparer du leur (là je parle du vinaigrier) ! Et hop, nous on récupère, voilà une bonne chose de faite ! Nous pouvons au passage enrichir notre liste des choses récupérées (voir "liste des choses récupérées" à droite)

Etape 2 : trouver une mère... Non pas que nous nous sentions orphelins, surtout que nos mamans ont quand même meilleures mines que ça... là, à côté  -->
En effet une mère de vinaigre c'est un truc flasque qui hésite entre la méduse alcoolique et le foie de veau (pour les descriptions scientifiques, vous n'êtes pas à la bonne adresse, vous devriez plutôt aller voir ici). De nouveau, c'est en discutant avec des amis, cette fois il s'agit de Marc et Xavier de Marseille, que l'on apprend qu'ils ont une mère devenue trop grosse, et dont ils donneraient bien la moitié. Pour la petite histoire cette mère provient de chez la mère de Marc qui habite St-Maximin, donc à deux pas du vinaigrier ! Vous suivez ?

Etape 3 : trouver des fonds de bouteilles pour noyer notre mère dans l'alcool, et qu'elle oublie enfin son chagrin. Cette fois, on a eu beau quémander auprès de tous nos amis, personne n'avait de fonds de bouteilles (à cette occasion, Virginie et Cyril, ont même découvert l'expression "Fond de bouteille"). Heureusement, Vincent avait acheté, plusieurs années auparavant, trois très bons vins qui, stockés des mois durant dans un placard atteignant les 30° en été, a eu le bon goût de le perdre (son bon goût), et devenir une parfaite piquette à vinaigrier !

Et voilà le travail

Pour lire la suite des aventures de notre mère cliquer ici !

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